Le stoïcisme
Il se présente comme une doctrine matérialiste.
Né au 4è siècle avant JC, il se développa jusqu’à la fin du 3ème siècle après JC.
Le bonheur y désigne l’indépendance vis-à-vis des circonstances extérieures et le détachement à l’égard des choses.
La maîtrise de nos représentations et l’exercice du jugement permettent d’y accéder.
C’est une philosophie de la liberté intérieure.
L’epicurisme
Atteindre le bonheur, on entend souvent parler d’épicurien au coin de la rue ou dans les conversations courantes.
Certains pensent qu’il est comme un synonyme de l’hédonisme.
Il désignerait la vie dédiée au plaisir, notamment de la chair.
En réalité, cette doctrine est très austère.
La vie doit être guidée par des plaisirs simples, les plus minimalistes possibles, voire l’absence totale de peines.
On est très loin de la recherche de plaisir effrénée.
La conscience et l’inconscient
Dans la vie de tous les jours il ne se passe pas un moment sans que nous changions, ne serait-ce qu’à travers le temps qui s’écoule.
Notre corps, mon caractère, mes opinions changent et pourtant on se considère soi-même et les autres comme des personnes uniques malgré tous les changements de l’existence.
Mais alors, qui suis-je ?
Qui êtes vous ?