Comment stopper son addiction à la pornographie avec l'Éveil Hypnose ?


Quand on a des troubles de la sexualité rien n’est du au hasard ?

 

> Sujet très très tabou car d’être accro, il y a aussi un risque de burn-out sexuel sociale.

Cela touche à la quarantaine, ou un peu avant, ou un peu après, les personnes que l’on identifie faisant leur « crise ».

Ils ressentent souvent le besoin de tout changer pour revivre sous prétexte que la vie ne les fait plus bander.

Consommé en excès, le porno agit sur la vie sexuelle. 

Nous allons analyser les rouages de cette sexualité de grande vitesse.

Bonne nouvelle, 80% des pannes sont du à du psychique et 20% à du physique.

 

> Ça gâche le cerveau et évite de sortir d’un cauchemar

L’arrivée de l’internet haute-vitesse représente un progrès technologique majeur mais pour certains, cela constitue plutôt un fléau.

Pourquoi ? 

L’omniprésence d’accès associées à certain contenus est trop présente et facile.  

Il y en a partout et pour tous les goûts.

On a essayé de comparer ceux qui en consomment et ceux qui n’en consomment pas. 

Les hommes qui ne s’exposent pas à la pornographie n’existent pas ou sont très rare ! 

Il y a d’ailleurs une impossibilité de former un groupe de contrôle pour cela. 

Nous devons quand même nuancer car il y a différents degrés d’exposition et certains ne sont pas problématiques.

Beaucoup de jeunes développent une addiction qui les déconnecte pas à pas du monde réel par la description ci dessous. 

Leur sexualité représente des milliers de consommation infini de pixels d’images et donc de vidéos de femmes nues s’adonnant à de diverses une  pratiques sexuelles en quelques minutes voir plus. 

Leur sexualité représente un écran d’ordinateur où une multitude de pages sont ouvertes, où un énorme choix de femmes s’avère désormais disponible. 

Leur sexualité prend la forme de séances de masturbation répétées où le temps s’écoule sans qu’ils s’en rendent compte. 

Il y a consommation et aucun risque de rejet par l’autre.

La représentation n’est pas si différente que dans la réalité, c’est juste le volume qui bossent la réalité.

Ils finissent par ne plus être stimuler dans la réalité par une seule femme et une performance malsaine vient se construire par mimétisme ensuite.

Le moindre défaut chez le ou la partenaire vient du coup créer de l’intellectualisation et de la non présence qui crée des pannes plus ou moins grave.

 

> La sexualité est avant tout du partage, de l’écoute et des ressentis. 

Le visuel n’est pas l’essentiel de l’acte. 

Tout peut être réveiller ou réparer via l’imagination retrouver perdu dans la virtualité de l’acte pornographique. 

Le cerveau devenue feignant car un acte et un fantasme qui déclenche des effets biologiques dans le corps, il faut reformater reprogrammer l’automatisme à imaginer via la lecture et l’abstinence de la pornographie définitive.

Un travail sur la confiance en soi en parallèle sera à mettre en place aussi.

Toucher et être touché délicatement doit revenir dans le couple. 

C’est séduire et être séduit. 

C’est établir une connexion émotionnelle et sexuelle avec une personne de confiance. 

C’est apprendre à donner et recevoir. 

La sexualité réelle, c’est vivre éviter d’être l’éternel spectateur de celle des autres mais acteurs de la sienne.

 

 

> Les gens ayant une dépendance sont inconsciemment attirés par des «récompenses naturelles». 

Ils cherchent à se dépasser dans des niveaux de dopamine enclenchés jusqu’à littéralement développer une tolérance au plaisir ! 

Le plaisir fini très rapidement par devenir un doudou qui nous fait culpabilisé jusqu’a un début de petite dépression et cela répétitivement sans cesse.

Le seule moyen pour se sentir mieux est ensuite de recommencer.

On observe que les hommes sont majoritairement touché plus que les femmes.

Socialement entrainé à le faire très jeune par des amis d’école ou autres du même âge qui l’on déjà fait et qui incite à nous y mettre.

C’est très comparable au dicta du tabac, de l’alcool ou du dépucelage précause.

Si on ne l’a pas fait, on est déscridibilisé et montrer du doigt si cela se sait.

On fini par mentir pour être tranquille et a culpabiliser.

Ce qui replonge dans un stress qui nécessite le besoin de recommencer à consommer du porno si on l’a déjà fait.

Les jeunes filles sont moins touchés car on les protèges du traumatisme de la fille légère.

Alors que l’homme doit être un chef de meute toujours en rute.

Ces futurs adultes n’arrivent plus à éprouver de la satisfaction et du plaisir dans les autres sphères de leur vie. 

Ils ont besoin de libérer une quantité excessive de dopamine pour pouvoir se sentir vivant et être habités par du plaisir. 

Par conséquent, ils se réfugieront encore davantage dans leur monde virtuel car le reste des plaisirs accessibles dans ce monde ne suffit plus.

Pour arriver à l’orgasme, ils ont besoin de plus en plus que les scénarios deviennent excitants.

Comme quelqu’un de riches qui pourrait rentré dans des excès pour trouver le bonheur que l’argent ne lui apporte pas.

Parfois, seuls des scénarios ultra spécifiques viendront les combler et les possibilités sont illimitées avec le porno. 

Des préférences se créent. 

Il peut alors y avoir une rigidité excessive des scripts sexuels.

Et il est du coups difficile de trouver le ou la bonne partenaire.

Quand le dépendant est devant son ordinateur, un véritable plein contact se créé. 

Le reste n’existe plus comme hypnotisé..

Pendant que le temps s’écoule, la vie continue…

L’individu néglige sa vie professionnelle, sa vie sociale et surtout sa vie affective. 

Il ou elle sont fatigués et ecxigents.

Il y a effritement de la force de volonté qui peut entrainer d’autres addictions et de la procrastination. 

Cela devient une excuse pour reporter les autres activités et responsabilités.

En étant passé par différentes difficultés la personne peut se rendre compte plus tard positivement que cela à créer aussi des bénéfices présent comme l’humilité, la sensibilité, l’écoute etc etc.

En ayant vécu et appris durant le processus, on éprouve une force à s’exhiber tout mentalement sans tabou, en confessant tout type de sujet que certains cachent par peur d’être exclu d’une communauté.

Passez vous aussi de plusieurs pornos et masturbations par jour à zéro. 

Si certaine méthode ont marché pour certain elles marcheront pour vous.

 

> La pornographie s’est faite une place chez les Français car 50% d’entre eux consomment quotidiennement des images pornographiques.

(Étude IFOP janvier 2014).

Malheureusement, cette population consulte peu, enfin jusqu’à temps qu’ils trouvent une vraie partenaire et qu’ils réalisent avoir un problème de dysfonction. 

La pornographie peut induire cela car tel que décrit précédemment, dans ces conditions, on a besoin de conditions très spécifiques ou de niveaux de dopamine excessivement élevés pour pouvoir arriver à une performance naturelle.

Finalement, une addiction à la pornographie pourra toucher sévèrement la fantasmatique de l’individu comme je le disais. 

Ils s’habitueront à être spectateurs et non acteurs. 

Ils s’habitueront à ce qu’une barrière existe entre eux et la femme. 

Le « voir » sera érotisé mais pas le « toucher », le « sentir » et encore moins le relationnel.

Si ce texte vous a particulièrement touché ou interpellé, il n’est jamais trop tard pour consulter. 

Des recherches montrent que ces dysfonctionnements peuvent disparaitre en quelques séances de thérapie seulement.

 

> A quel âge y a t on accès le plus 

A 11 ans déjà on peut voir pour la première fois des images pornographiques. 

Ça arrivé par erreur ou pas, à la suite d’un enregistrement d’un soir qui dure plus longtemps que les autres, 

ou l’accès d’un chaine qui ne nous est pas destiné ou via un magazine pour adulte qui traine…

Des scènes de ouvertement filmées, sans gros plan, mais explicites peuvent très facilement éveillé l’intérêt de son intimité pour un garçon. 

Ces images fascinent. 

À partir de ce moment-là, l’attirance pour ces images ne cessent d’augmenter. 

Et la facilité avec laquelle Internet permet d’assouvir son besoin, rien ne s’arrange ensuite.

 

 

> Au lycée jusqu’a l’âge adulte, le contrôle devient impossible 

Vers 15-16 ans, la consommation devient réellement addictive. 

On perd le contrôle, à en faire des choses si stupides qu’on croit qu’on en aura honte toute sa vie d’adulte.

Le quotidien finit par tournée qu’autour de cela.

Ça devient une drogue et quand on a atteint le plaisir mécanique, on s’en veut. 

On se trouve toutes les excuses qu’en on est en manque et la société crée cette normalité car les pères ou les grands pères sont passé par là pour les garçons.

Ça aura d’ailleurs des conséquences terribles en psycho généalogie. 

Chez de nombreux porno-dépendants, la masturbation compulsive peut être la cause de troubles érectiles comme je le disais pour y revenir.

L’incapacité à avoir des érections ou d’éjaculation précoce, troubles de la libido, de sécheresse vaginale pour les femmes et d’autres symptômes.

À 24 ans, les choses ont alors peuvent être encore plus compliquées à gérer. Lors de rapports sexuels avec sa compagne qui peuvent être masquée par ces images qui manifeste le pseudo fantasme ou obsétions. 

Tout peut être tournés vers le porno et on le vit mal. 

On ne veut plus agir ainsi mais on ne sait pas comment faire autrement. 

Cela crée des frustrations ou des colères inadaptés et régulières.

Il arrive même de refuser certaines positions ou pratiques parce qu’il est impossible de se défaire de certaines images d’échecs qui se multiplient plus on y pense.

Le corps est là, mais la tête est régulièrement ailleurs. 

On ne supporte plus de cacher cela à son ou sa partenaire, de lui mentir, en sentant que le lien et la complicité en pâtie.

On en souffrent et préférons par survie se déculpabiliser en culpabilisant l’autre jusqu’a la séparation involontaire.

 

 

> Accepter sa dépendance

L’addiction au porno nuit à la santé et aux relations. 

On y perd beaucoup d’énergie qui pourrait être utiliser à ,meilleur escient.

Il est important de faire un travail sur soi-même pour prendre conscience de cette réalité. 

Sans ce « déclic », il est presque impossible de vaincre son addiction et vous rechuterez sans cesse car vous ne serez pas personnellement convaincu du bienfait d’arrêter. 

Il faut en avoir envie en identifiant les problèmes liés à cette dépendance. 

Malheureusement comme le tabac on attend le dernier moment pour agir.

Acceptez d’avoir un rapport problématique à la pornographie et cherchez à identifier les mécanismes qui sont les vôtres lors de cette pratique.

 

 

> Rôle de l’addiction

Source = sexe sans contrôle avec tout fantasme interdit.

Apaiser un mal-être émotionnel et une tension interne comme de la colère, de l’anxiété, de la tristesse.

Le passage à l’acte sexuel permet d’extérioriser cette tension et, par ce biais, de la soulager.

Oublier, fuir, échapper, éviter, le sujet recherche par l’addiction à éviter de revivre des situations de mal-être et de souffrance passées ou présentes.

Il est parfois préférable, pour certains sujets, de se réfugier devant un écran pour «voir ce qu’il ne fera jamais dans le réel». 

"Cybersexe" ou pour communiquer dans des réseaux sociaux, plutôt que de faire face à de vrais échanges ou d’affronter certaines difficultés de la vie. 

L’addiction sexuelle, par la saturation et l’effet « bulle », crée un état second qui anesthésie la personne face à une souffrance intolérable provenant d’un traumatisme passé ancien ou récent.

(Inceste, violence sexuelle ou autres …).

Plus d’informations sur le modèle pro dépendence qui part du postulat que l’addiction est un désordre de l’attachement intime et qu’il permet d’anesthésier nos émotions ou situations négatives.

Souffrir ou se punir confirme le dégoût de soi qui est au centre de cette fonction. 

Des événements traumatiques de l’enfance, tellement déniés par l’entourage, ravivent la culpabilité, amenant au dégoût de soi. 

La dépendance devient le moyen le plus simple de se salir davantage et de confirmer sa propre responsabilité dans les événements passés.

S’affirmer et se valoriser est le contraire de l’addiction qui peut être un moyen narcissique de se rassurer et d’exister au travers de ce comportement. 

C’est le cas de certains consommateurs sexuels, de dragueurs invétérés, de phobiques sociaux "qui voient dans les multiples confrontations sexuelles, sans suite, le moyen de tester leurs capacités ou d’amplifier des croyances de toute puissance".

Tout cela cache évidemment des doutes, des peurs, des craintes de ne pas être à la hauteur et de ne pas satisfaire l’autre.

Rechercher de la nouveauté, pour avoir toujours plus de sensations fortes. 

L’addiction, par son caractère boulimique et sans fin, permet, par la nouveauté et le changement des situations sexuelles, a minima, de virtualiser ses fantasmes, mieux que dans l’imaginaire, de vivre des sensations jamais éprouvées et d’accentuer le niveau d’excitation sans fin.

Ça devient presque plus malsain de sed masturbé sans support.

Sortir de l’ordinaire, stimuler l’existence et exister, l’addiction sert à faire face au vide, au néant, au manque, à l’absence, au rien.

La boulimie de sexe est une pratique courante qui donne du poids à la vie de l’addict.

 

 

> La théorie scientifique du système de récompense.

Le système de récompense est un groupe de neurones responsables de la sensibilisation incitative du désir, l’apprentissage associatif en apprenant que deux événements sont reliés entre eux et la formations de liens entre les représentations mentales de stimulus physiques type Pavlov et les émotions en réaction à la qualité agréable d’un stimulus ou d’une situation.

La dopamine est un neurotransmetteur qui donne la sensation de plaisir et renforce le système de récompense. 

Elle influe donc sur notre comportement.

Le circuit de la récompense occupe un rôle central dans la mise en place et le maintien d’une addiction.

Pour savoir quelle réaction adopter vis-à-vis d’une récompense perçue, qu’il s’agisse d’un verre d’alcool ou d’une partie de poker, notre cerveau s’appuie sur les informations sensorielles qui transitent par le tronc cérébral.

 

 

> Fonctionnement du système de stress

Des experts de 3 études voient l’addiction comme un désordre du système de stress car il affecte les hormones du stress cortisol et adrénaline mais aussi induit des multiples altérations dans le système de stress du cerveau.

Le système de stress modifie le cerveau et le corps pour endurer des facteurs de stress sur le long terme.

Il inhibe le cortex préfrontal qui est responsable des fonctions décrites plus haut.

Enfin, quand un addict est en sevrage au porno, son système de stress fonctionne à plein régime.

S’en suit des symptômes énoncés par des témoignages comme l’anxiété, dépression, fatigue, insomnie, irritabilité, douleurs et oscillements d’humeur.

Cela peut être le moment de se réfugier dans la dépendance car il se sent mal.

Le mauvais fonctionnement du système de stress se manifeste par des désirs plus importants, volonté inhibée et d’autres symptômes de sevrage.

L’anxiété et le stress se retrouvant dans les scènes X extrêmes, on peut comprendre l’escalade d’un addict.

 

 

> Symptômes

Les hommes comme les femmes, peu importe leur âge, situation maritale, classe socio-professionnelle peuvent devenir addict à la consommation de pornographie.

Certains symptômes de l’addiction ne seront évidemment pas rencontrés par les femmes comme la perte d’érection matinale ou le dysfonctionnement de l’érection.

Cependant la sexualité est autant impactée chez les hommes que les femmes encore une fois.

Plusieurs témoignages de femmes consommatrices de pornographie le confirment.

Voici un panel des symptômes de l’addiction à la pornographie.

Biensur, les addicts n’ont pas tous ces symptômes.

Dissociation entre ce qu’on désire et ce qu’on aime au niveau sexuel.

Dysfonctionnement de l’érection.

Libido faible.

Plus d’érection matinale.

Ejaculation précoce ou retardée.

Sensibilité réduite au niveau du sexe.

Etat de manque.

Temps important consacré à la pornographie.

Réduction des capacités cognitives comme la mémoire, concentration, prise de décision, gestion des pulsions. 

Pour la mémoire et la concentration, une soixantaine d’études le confirme.

Moins d’énergie en général.

Tolérance au porno dû au phénomène de désensibilisation puis escalade et diversification dans les préférences sexuelles 

pour obtenir le même plaisir qu’avant.

Désordre orientation sexuelle, baisse attrait pour le porno regardé au début, diversification qui peut aboutir à un questionnement sur son orientation sexuelle.

Questionnement orientation sexuelle qui ne provient pas de ses tendances sexuelles mais de sa peur et insécurité.

Baisse attrait pour le sexe avec un partenaire dû à la consommation de pornographie, une soixantaine d’études le confirment.

En cas d’addiction sévère, tendance à vouloir reproduire au sein de relations sexuelles réelles des pratiques qui donnent du plaisir à l’addict en situation de consommation de porno. 

Pour autant, il peut considérer ces pratiques comme malveillantes, douloureuses pour le partenaire.

C’est égale à de l’insensibilité émotionnelle, une faible estime de soi, de la honte, de la culpabilité, de l’anxiété sociale, de la dépression, une période de flou pendant l’addiction et assez souvent pendant une période du sevrage ou un sommeil perturbé avec moins de rêves la nuit plus une performance athlétique accompagné de masse musculaire réduites.

 

L’abstinence à la pornographie ne signifie pas pour autant abstinence d’activités sexuelles y compris la masturbation. 

 

Olivier Bonald

Olivier Bonald, je vous ACCUEIL en appel vidéo dans le monde entier ou dans mon cabinet. Avec mon accompagnement, apprenez à recadrer vos mauvaises pensées qui sont la source de vos maux. Tout ce que l’on dit on le crée et on l’attire. L’idéal passe par le faite de faire et non d’avoir, en prononçant des verbes d'actions positifs dans le mouvement.

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